| | « Le danger domine toujours » - Feat Zaya. | |
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Wilfa Chef de Guerre
Messages : 325 Date d'inscription : 02/10/2012 Age : 26 Localisation : Dans tes pires cauchemars.
Encore plus ... Autre personnage : Tayson & Tintallë. Devise: « Ton pire cauchemar sera mon plus beau rêve ... » Victoires en combat RPG: (0/0)
| Sujet: « Le danger domine toujours » - Feat Zaya. Dim 9 Fév - 17:34 | |
| Zayan ∞ Wilfa Une légère brise. Un léger souffle émit par le vide. Un temps légèrement grisâtre, assombrit par la tristesse des cieux. Les pas d’une louve trottinant résonnaient légèrement, prenant le soin de faire attention où elle mettait ses membres. Cet endroit regorgeait de pierres glissantes, de creux capable de fracturer n’importe quel os ou encore de boue. Les corneilles croassaient de leur son rouillé et souillé par le temps. La louve, c’était moi. Je venais de quitter ma meute, voulant reprendre et sentir à nouveau la liberté. Je venais de passer quelques heures aux côtés des autres membres de la meute, j’en avais déjà assez. J’étais épuisée par leur odeur et leur façon d’être. Ils ne devraient même pas oser porter le nom du « loup sanguinaire ». Le sol était encore humide, comme s’il venait de pleuvoir. Je ne savais pas où aller. Où marcher afin d’avoir de la paix mais aussi du calme. J’étais comme … Perdu. Ces territoires je les avais vus et revus au cours de ma vie. De mes aventures. Je voulais en voir d’autre. En connaître d’autre. Le chemin qui longeait ce territoire était boueux, avec de légères plantations d’herbe. À côté, des rochers. Des cailloux. Tous aussi glissants les uns que les autres. Ralentissant ma cadence, je me mettais à marcher en regardant autour de moi. J’avais envie de sentir un nouvel air. Voir de nouveaux horizons. Je m’arrêtais complètement, dressant ma tête en regardant la nature sauvage qui m’entourait. Tout était calme. Les yeux légèrement plissés à cause du faible vent, j’humais l’air du mieux que je pouvais. Quel ennui. J’avouais. Je m’ennuyais malgré tout. Pourtant, je ne m’en plaignais jamais. J’aimais la solitude et le calme qu’elle m’apportait. Être accompagné par un autre canidé est devenu une chose que je fuyais au fil du temps. Depuis ma tendre enfance je n’aimais pas me faire accompagner. J’étais bien seule. Et je resterais bien, seule. Reprenant ma marche, je décidais de quitter le chemin boueux, m’aventurant sur les rochers risqués. De l’autre côté se trouvait un autre territoire. J’avais envie d’y aller. Envie d’aller le découvrir, même si c’était rare que ce genre d’envie survienne en moi. Doucement, je posais mes pattes petit à petit sur les roches, tentant de prendre des endroits qui glissaient le moins. Ce n’était pas aussi facile que ça en avait l’air. Je me sentais presque ridicule, mais tant pis. Personne n’était dans les parages. Personne ne me verrait. Après un petit bout de chemin risquant à tout moment d’être blessée, un creux était face à moi. Je le regardais d’un bref regard, m’occupant plus de calculer la distance. Légèrement, je reculais de deux, trois pas avant de m’élancer sur le rocher d’en face. Il n’était pas profond, certes, mais le moindre choque contre les parois aussi dures que celles des pierres pouvait être fatale. Soigneusement, j’atterrissais sans peine, même si je cru glisser à un moment. Mes entrainements ne sont pas que pour le combat. J’ai eu la chance d’être née avec la qualité d’être agile. Je me sentais fière de l’avoir sauté. D’avoir était plus forte que la nature et d’avoir pris le temps de faire attention à mes moindres pas. Après mon atterrissage, je me stoppais d’un seul coup, regardant autour de moi. Je dévisageais le creux des roches avec fierté. Malheureusement, je n’avais pas fait attention à mes pattes arrière. Elles étaient proches du bord. Voulant faire à nouveau mon premier pas afin de poursuivre mon aventure, ces dernières glissèrent d’un seul coup, tirant mon corps en direction du petit gouffre. Je perdais l’équilibre sur le champ, sans même comprendre ce qu’il venait de m’arriver. De l’erreur que je venais de faire. L’avant de mon corps s’écrasa faiblement au sol, sentant une douleur irréparable sur les côtes, me laissant tirer en arrière. Jusqu’à ce que … Stop. Je m’arrêtais. L’arrière de mon corps basculait dans le vide, telle une poupée de chiffon. Pourtant j’essayais de me rattraper en voulant trouver un endroit avec mes pattes qui m’aiderait certainement à remonter. Mais ça glissait. Ca ne faisait que de glisser. Mes côtes raflaient la roche, me faisant plus de mal qu’autre chose. Je venais de prendre la Nature d’un peu trop haut. Mes pattes avant glissaient également. J’étais … Coincée. Et je restais silencieuse afin que personne ne me voit dans un pétrin tel que celui-ci. Et pourtant. Je le sentais. Je sentais qu’une présence allait finir par surgir de n’importe où. Je craignais de savoir qui ça pouvait bien être. J’ignorais. Et je continuais à ignorer en tentant de me sortir de là.
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| Sujet: Re: « Le danger domine toujours » - Feat Zaya. Dim 9 Fév - 21:24 | |
| Depuis peu, depuis quelques jours, Zayan semblait ne plus se reconnaitre. Il était perdu avec lui même, il ne savait plus, plus ce qu'il était maintenant. Depuis qu'il avait rencontré la louve, celle qui lui avait fait battre à nouveau le coeur, il n'arrivait plus entièrement à se contrôler et à être d'accord sur ce qu'il devait faire. Il voulait être seul ce jour là, il volait comprendre ce qu'il désirait, ce qu'il ferait. Le temps semblait aussi mitigé que lui à cet instant. Marchant doucement sur les parois rocheuses, évitant les angles aussi coupants que des lames de rasoirs, il pensait, sans faire réellement attention à ce qui l'entourait, au chemin qu'il empruntait. ''Ai je fit tout ces efforts pour rien? ai je perdu mon temps à dominer mes sentiments alors qu'ils étaient incontrôlable? comme la nature elle même, rien ne peut la dominer.'' Dans ses réflexion, il repensa à son passé, accompagnée de la mélodie de la brise qui soulevait ses poils et..une odeur. Sans réellement le vouloir, plus pensif que curieux à ce moment, il suivit le parfum d'un de ses congénère. Mais par moment, son cœur criait, hurlait, de laisser, d’arrêter de vouloir tout contrôler. La douleur fut si forte, qu'il commença à courir, faisant à peine attention à là ou il allé, sautant, évitant, longeant, la roche, les pierres, les parois. Non, il voulait pas s’arrêter, pas avant que ça lui fasse moins mal, pas avant qu'il s'épuise à un point qu'il cessera de hurler. Il parcourait ces collines rocheuses à une tel vitesse, que lorsqu'il sauta un creux, il rencontra les yeux d'une louve plus bas. N'ayant pas levé les yeux devant lui, fixant la louve, il s'effondra au sol en faisant une roulade sur le coter, de manière stupide. Il ne bougea pas pendant quelques secondes, puis se releva comme si de rien n'était. Il se secoua, faisant partir la poussière de la roche qui avait tacher son pelage, dans un nuage légèrement gris-ocre. Il se retourna, repensant à l'inconnu, et s’arrêta juste au bord en faisant attention. ''ça glisse par ici, il faut que je sois prudent si je veux pas me retrouver comme elle...d'ailleurs elle vas bien au moins?'' Zayan était encore un peu secoué de sa chute. Il la regarda pendant quelques secondes, puis demanda sur un air lointain:
-Tu vas bien?
Il la regardait d'un regards neutre, sans moquerie, sans émotion, juste avec un peu de curiosités. Il ne dit rien de plus pour voir sa réaction, pour savoir comment il allait se comporter avec elle. Si ça valait le coup de l'aider ou non, même si il voulait lui venir en aide. Mais il n'est pas du genre a s’embêter avec un loup trop impulsif et qui était têtu au plus haut point. ''Peut être que j'aurais du la saluer, ou me présenter...tant pis on verra bien, en tout cas elle à l'air amochée...''Il ne réfléchit pas à savoir si c'était une Light, une Black ou encore un loup comme lui. Non, il voulait savoir si elle allait bien, si elle avait besoin d'aide. Qu'importe sa meute, il s'en fichait comme pour beaucoup de chose. ''Que fait elle ici? c est dangereux..seule ne plus ...je peux parler mais bon..''Peut être est elle pour la même raison que lui tout simplement. Il ne voulait pas chercher plus, elle lui dirait si elle le voulait. Des petits cailloux roulaient vers elle, et de la poussière s’élevait un peu sur le passage. Des petites gouttes d'eau tombées à présent, une averse qui finirait bientôt surement. Zayan regardait autour de l'inconnu, se demandant si elle allait réussir à se sortir de là. Et il espérait qu'elle ne l'attaque pas par fierté par ce qu'il la vu ici, dans une posture tel qu'elle était à ce moment. |
| | | Wilfa Chef de Guerre
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| Sujet: Re: « Le danger domine toujours » - Feat Zaya. Mar 18 Fév - 17:51 | |
| Zayan ∞ Wilfa Je continuais à glisser, me retenant avec force et peine contre la paroi rocheuse et glissante. La douleur aux côtes, je m’abstenais de gémir de souffrance. Certes, ce n’était pas quelque chose qui me faisait du bien. Autant dire que ça me rappait la peau. J’avais cette sale impression de sentir mon sang couler le long de mon corps en direction du vide, alors qu’en réalité, ce n’était que de simple râpure. Griffure. Rien de plus détestable. De plus insupportable. Mes membres à l’arrière continuaient d’effleurer et de glisser sur la roche glacée et humidifiée. Je ne savais pas encore combien de temps j’allais pouvoir y tenir. Réellement, je m’approchais peu à peu à la fin de ma force. Moi qui avais l’habitude de me montrer plus forte et plus imposante que les autres. Me voilà dans une impasse presque fatale. Mes membres avant râpaient le sol, laissant le bruit de mes griffes glisser sous la pierre. J’étais de plus en plus certaine que personne ne passerait par là. Même pas une seule souris, bien trop peureuse pour s’aventurer dans l’endroit préféré des serpents ou autre bestioles de ce style. Je n’avais jamais craint cet endroit. Et jamais je ne le craignerais. Seulement, ce n’était certainement pas le bon moment. Avec le temps et la température, j’aurais dû y penser avant. Mais c’était bien trop tard. Ce qui est fait est fait. Serrant la mâchoire, je tentais de remonter un peu plus. Avec un peu de chance, je pouvais m’appuyer sur un petit endroit afin de me remonter un peu. Rien n’était suffisant. Pourtant, je donnais mes derniers efforts. Et puis en fin de compte, tant pis si je devais y passer. Je resterais certainement coincée ou pire, je perdrais conscience lors de la chute. Ils seront bien contents eux, les Blacks, d’avoir une chieuse en moins. D’avoir un fantôme ne restant jamais au centre de la meute, disparaissant chaque jour sans prévenir et revenir le soir comme si rien n’était. Le fait d’y penser me donnait rage en moi. C’est alors que j’ai sentis une odeur. L’odeur d’un canidé, non loin de moi. Ces pas résonnaient sur la pierre. Son souffle s’entendait. Un vagabond. Le museau chatouillé par l’odeur, je fronçais légèrement mon visage d’avance. Qu’est-ce qu’ils pouvaient m’épuiser eux, aussi. Malgré le fait que je sois sur leurs terres, j’aurais préféré les éviter. Au fond, je devais l’avouer, j’étais plutôt heureuse de rencontrer une nouvelle odeur. Ainsi, ma réputation n’aura guère de moqueries. De rumeurs. Et je resterais tel que je suis. D’un seul coup je n’entendais plus ces pas. Son galop résonnant dans la vallée rocheuse. Mais cette impression d’être observée s’était imposée en moi. Il était là. Je baissais les yeux. Oui, je baissais les yeux. Et alors ? On a tous le droit de les baisser, non ? Eh bien. Faites donc avec. C’était un silence calme et paisible comme avant qui m’entourait. Je ne bougeais même plus, fatiguée de faire des efforts. Dans le coin de l’œil je vis alors une boule de poils faire une roulade sur le côté. Par pur réflexe, je levais les yeux vers lui. Il se dressait devant moi, le pelage aussi noir que l’ébène, les poils soufflés et balayés par la légèrement bise. Qu’est-ce qu’il pouvait bien faire là, lui. Avec son regard innocent comme tout. Un regard presque perdu. Un regard de solitaire et de liberté. Soudainement, il se baissa lentement afin de faire une roulade sur le côté. Il était sérieux ? Franchement. Je suis limite en train de lâcher le reste de mes forces et tout ce qu’il trouve à faire c’était de se rouler sur la roche. Il avait l’air … Stupide. J’hésitais même à prendre ce geste comme de la moquerie. Comme si monsieur le vagabond était amusé par le fait qu’une louve de meute se fait avaler gentiment par le vide. Par le petit gouffre sous ses pattes. Je continuais de garder mon regard noir, fixé sur lui. Je ne pouvais pas les flairer. Et jamais je ne les flairerais. Ils puaient tous le chacal. Du moins, ceux que j’avais croisé. Quelques secondes après, il se releva à nouveau avant de se secouer frénétiquement. Avait-t’il enfin terminé son cirque ? Pendant ce temps, je continuais à glisser sans peine. Sans pitié. Peut-être était-ce la récompense de ma mauvaise attitude depuis toutes ces années. Qui sait. Il continuait de me regarder. Puis, il brisa le silence en une fraction de seconde, le coupant en deux.
- « Tu vas bien ? » Si j’allais bien ? Est-ce que j’avais l’air bien dans un moment pareil ? Est-ce que j’avais la forme parfaite ? Là, comme ça ? Non. Non. Et non ! Quel imbécile. Qui l’avait mis au monde. Qui avait osé l’élever ainsi. J’avais envie de lui donner un coup de patte sur le moment. Mais rien ne pouvais m’accorder cette occasion. Ma situation était amplement délicate ainsi. Son regard aussi neutre qu’un loup blanc parmi les moutons noirs. Il avait l’air d’un grand enfant indépendant. Je grognais contre moi-même. Contre ma maladresse mais aussi contre lui pour cette question qui avait le don de me faire monter dans les plus hautes tours de ma colère. Et il restait là. Cloué sur la roche. Me regardant. Alors que je ressentais encore la douleur contre mes côtes et mes forces me lâcher peu à peu, me laissant tirer en arrière. Je ne savais pas ce qu’il cherchait. Et je n’avais pas envie de le découvrir. Je ne veux pas d’aide. Je n’avais jamais été aidée au cours de mon existence. L’aide est une chose dont je ne n’ai jamais eu la chance d’y croire. D’y voir. Tout semblait avoir disparu depuis un certain temps. Je m’en fichais de ce qu’il pouvait penser. De ce qu’il pouvait faire. Qu’il me laisse partir ainsi, ça fera un Black en moins à détester jusqu’à vouloir sa mort. Je voulais bien le voir à ma place, lui. Au lieu de poser des questions aussi stupides que ses propres pattes. Je tentais encore de me rattraper, mais c’était plus de la douleur que je ressentais qu’autre chose. Dans un léger passage de souffrance, je lui cracha quelques mots au museau.
- « Espèce de crétin, est-ce que j’ai l’air d’aller bien là ?! … » C’était tout. J’avais décidé de me taire, pensant à ma voix intérieure. Cette voix qui nous hante depuis notre naissance. Cette voix qui nous parle. Notre conscience. Elle me demandait gentiment d’arrêter de faire la mauvaise si je voulais m’en sortir. Si je voulais à nouveau avoir les quatre pattes sur terre. Je refusais littéralement de montrer une autre image de moi. De montrer une gentillesse. Rien que penser à ce mot me dégoûte. Eurk. Pourtant j’avais bien conscience que dans la vie, il faut faire des exceptions. Même si cela ne va pas dans le sens que nous on le souhaite, tant pis. J’étais épuisée et la douleur remontait sans cesse. Plus je tentais de sortir de ce pétrin, plus je me faisais mal. Injustice. Je restais pourtant silencieuse, ne le fixant même plus. Je ne voulais même pas lui demander de l’aide. Ce n’était pas moi de me faire aider. Même si j’étais conscience que j’en avais besoin, je ne disais rien. Silencieuse comme tout. Je finissais par me taire, tentant de rester immobile. J’y arrivais avec peine malgré tout.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « Le danger domine toujours » - Feat Zaya. Mer 19 Fév - 17:19 | |
| La louve semblait avoir une lueur briller dans ses yeux, non, pas celui de l'espoir ou de gentillesse, bien au contraire. Apparemment, Zayan avait réussit en quelques mots à la rendre en colére, même on pourrait dire qu'elle lui en voulait. La fixant toujours avec son regards dorés, le loup noir attendit l réponse de l'inconnue qu'il devina peu aimable. Il n'eut pas le temps de deviné a quoi ressemblerait les quelques mots qu'elle allait lui balancer qu'elle lança:
- « Espèce de crétin, est-ce que j’ai l’air d’aller bien là ?! … »
Sans même faire attention au mot ''crétin'', comme si il avait rien entendu, il observa la louve et oublia un détaille; ''Elle sent la douleur c est vrai...elle doit pas être bien ainsi...pourquoi j'oublis si souvent que tous ceux autour de moi ressente la ''douleur'', cette sensation désagréable qui nous pousse à des comportement plutôt négatifs. Pourquoi je l'oublis encore..''Non, il ne lui en voulait pas de lui avoir répondu ainsi, il s'en fichait en faite. Temps qu'elle n'essaye pas de le mordre ou quelque chose de ce genre. Il sentait à peine son sang, signe qu'elle devait se rapper ou une banale coupure. Mais la situation était délicate; Si elle lachait prise, elle allait tomber avec pas mal de séquelles ou elle mourra. Que pouvait il faire? Elle essayait de remonter sans grand succés, tandit que le vide semblait vouloir l'aspirait entiérement. Il attendait qu'elle abandonne ou que le sol la fasse glisser dans son gouffre noir. Aussi noir que le regards de la louve. Zayan soupira, se leva et lui tourna le dos, voulant s'en aller car il ne voyait pas ce qu'il pouvait faire. De toute façon il ne la connaissait pas, il n'avait rien a devoir a personne. Voila ce qu'il se disait pour essaye de redevenir le ''Zayan d'avant'' qui n'avait aucun sentiments, que ce soit de la pitié, de l'amour. Oui il devait la laisser a son propre destin. Qu'elle meurt ou qu'elle vive, cela devait rien lui faire, il devrait partir en la laissant ainsi, mais une voie, qu'il reconnut toute suite lui murmura: ''Zayan, je fais de toi un loup qui n'aura plus de sentiment, mais je fais pas de toi un monstre'' Ses yeux retombèrent vers le trou, la ou l'inconnue était encore prisonnière. Non, il ne voulait pas devenir un monstre non plus. Alors il alla a nouveau à la rencontre de la louve et dit sur un air lointain;
-Tu as l'air...fine
''Zayan qu'est ce que tu as dit bon sang ! Elle va croire que tu as dit ''Tu as l'air débile''...'' Il resta de marbre, regardant ses appuie et comment il allait s'y prendre pour l'aider. Il pouvait pas la pousser derrière car c'était le vide, il pouvait que l'aider en la poussant sur le coter vers un petit rebords plus plats qui lui permettra de prendre de l'élan et de sortir de cette stupide situation auquel elle à eu la malchance d'y tomber.
-J'arrive
Non, il lui demandait pas son avis, car de toute manière elle allait surement lui dire non ou une encore d'autres mots peu amicale. Plutôt qu'attendre et de parler et qu'il change encore une fois d'avis, il préférait prendre le risque qu'elle l'attaque.
-Ferme les yeux
Lui prévint il puis il se laissa glisser lentement, les pattes arrières en premières, aux coter de l'inconnue, se stabilisant a peine plus haut qu'elle. En faisant cela, il créa de la poussière et des gravillons roulaient un peu partout doucement. Il ancra ses pattes dans des minuscules fissures/trous qui étaient sur la paroi rocheuse, ne sentant pas la douleur que cela pouvait lui faire. Sans le savoir, une de ses griffes s'était arraché.
-Prend appui sur mes pattes et va sur le rebord
Lui dit il, sachant que cette manœuvre allait peut être le faire tomber en lui faisant un croche pied involontaire. De toute façon il pouvait pas faire autrement. Il fallait qu'elle atteigne ses pattes avec les siennes ou ses crocs et qu'elle se hisse plus haut. C'était la seule maniére possible. ''J’espère que j'arriverais à remonter après qu'elle est réussit...j'aurais vraiment l'air d'un....'' En attendant que la louve se décide à grimper en s'aidant de lui, il enfonça ses pattes encore plus profondément, pour être sur de pas lâcher prise car malgré qu'elle à l'air fine et légère comparé à certains loups, il savait pas si il arriverait à tenir car ça glissait.Il n'était pas un loup des plus costaud, mais il était grand avec des membres musclé, assez pour avoir la force de se retenir ou de remonter peu être. En plus la pluie continuait doucement à ruisselait sur la roche. Si elle mouillait tout cela aller être presque impossible de grimper vu comme c'était déjà difficile. ''J’espère qu'elle pas me mordre sans raison ou parce qu’elle est vexé et autre'' Oui il espérait car il ne sait pas ce qu'il se passait dans le tète de cette louve. Il avait déjà réussit à la rendre en colère, alors il le pouvait encore en agissant de lui même sans lui demander son avis.
-Au faite...tu t' appel comment?
La question lui était venu comme sa, même si la situation était peu propice au bavardage.
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| | | Pandore Maître de la Terre
Messages : 193 Date d'inscription : 15/04/2013 Age : 26 Localisation : Derrière toi !
Encore plus ... Autre personnage : Saakis Devise: « Le fort fait ses événements, le faible subit ceux que la destinée lui impose. » Victoires en combat RPG: (0/0)
| Sujet: Re: « Le danger domine toujours » - Feat Zaya. Dim 11 Mai - 23:22 | |
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| Sujet: Re: « Le danger domine toujours » - Feat Zaya. | |
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| | | | « Le danger domine toujours » - Feat Zaya. | |
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